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made in moi - Page 50

  • Et soudain, le train-train ...

    Nous cherchons tous une belle histoire d’amour.

     

    Un truc qui nous fasse exploser le cœur à la manière d’un feu d’artifice, nous laissant en tout point infime de notre être, pantois de bonheur en parfait de perfection.

    Cependant, chacun sait que la vie n’est pas un long fleuve tranquille et l’on se retrouve souvent coincé, englué dans de curieux bourbier d’amour, l’on si noie presque en suffocation d’effroi .

    Alors quand une belle histoire en visionnage vient à gratter là, profondément, son petit cœur, en désespéré du Bonheur, l’on s’en gave, l’on s’y plonge jusqu’à l’écœurement ou presque.

    C’est comme si l’on avait envie de raviver sa propre couleur du délice des délices avec une teinture qui, en fait, n’était pas la sienne et que l’on s’apercevait au bout du compte, qu’elle ne tenait pas après plusieurs lavages….

    Et pourtant ! A la première immersion, que la vie est soudainement soudain, plus belle !!!

     

    Est ce que celle-ci sera l’une de celle-là ?

     

    C’est ce que Cathy se posait sans cesse au lieu de vivre en paisible.

    Il lui fallait chercher l’exaltation extrême qu’elle ne retrouvait en fait, que dans des romans, dit si justement, « à l’eau de rose » ou des films de filles bien dégoulinants de sirop d’amour magnifié.

    Et tandis qu’elle rebondissait d’histoires en histoires, elle ne s’apercevait pas que Jérôme, lui, était bien là.

     

    Un café renversé sur sa chemise par une lecture attentive de magasine avisé sur une heure de déjeuner avait été « leur » première rencontre, il y avait tout juste un an.

    Depuis, ils se croisaient régulièrement à ce moment particulier de la journée de travail où le temps vous est compté.

    Le choix de lui parler d’autre chose le démangeait certes, cependant il n’osait jamais et elle donc, ne l’envisageait que comme ces passages obligés de sa petite routine bien huilée.

     

    Les vacances d’été lui firent un pied de nez.

     

    Car, alors qu’elle s’affairait à planter, avec ses deux copines, la tente sur ce bout de Bretagne en presqu’île de Quiberon, Jérôme lui, installé là depuis une semaine, recevait en plein cœur en la voyant, l’étincelle universelle décliquante irrémédiable des cœurs en sommeil.

     

    Bien sûr, il s’approcha.

    Bien sûr, elle le reconnut.

    Bien sûr, il lui proposa son aide et comme rien, à ce moment là, ne venait égarer la belle rose engluée, elle reçut elle aussi, le petit « TZIT-TZIT » qui allait changer sa vie de petite embourbée.

     

    Alors le charme opéra.

    Alors la métamorphose commença.

    Ainsi, juste les cœurs se reconnurent et se parlèrent à mots tendrement muets.

     

    Et lorsqu’il l’invita, pour le lendemain, à lui faire découvrir cette presqu’île qu’il affectionnait tant, elle ne se posa pas de question, elle lui répondit par l’affirmatif tout simplement.

     

    Ce qui est assez fou, en vérité, pour une fille comme elle, rappelons ici son côté plus qu’un tantinet exalté de rêveuse d’Amour, c’est que cette nuit là, elle dormit de tout son saoul et n’envisagea rien d’extravagant dans le cheminement de ce jour qui serait demain.

    Elle s’endormit tranquillement, presque le cœur en paix, presque … Bah oui, lui savait déjà !

     

    Dois je vous raconter cette journée où laisserai je votre imagination baigner et nager plus loin dans cette histoire ?

     

    Sourire …

     

    Sentir l’irrésistible à portée n’est pas exaltant mais juste rassurant, c’est comme si tout à coup, toutes les pièces du puzzle se mettaient en place d’un seul coup d’un seul.

    C’est ce qu’il se passa dès le moment où il lui prit la main pour l’emmener sur leur chemin…

     

    -« Où étais tu ? « 

    -« Dans des histoires qui n’étaient pas les miennes . »

  • Du dur exercice du joyeux ...

    Et si tu écrivais en joyeux pour changer ?

     

    Mouais, écrire en joyeux, c’est bien joli mais ça ressemble à quoi ?

     

    Est ce que je dois m’attacher au fond, faire qu’au moindre mot et à sa place dans l’enfilade, le lecteur trébuche de sourire en éclats de rire ?

    Ou alors, dois je élire un sujet en mets de choix qui s’immisce en insidieux quelque part dans votre "cerveau-siège-de" réveillant votre rire en cascade ?

    Car après tout, chacun connaît les vertus nombreuses appliquées à l’agitation des zygomatiques et du reste, d’ailleurs …

    L'humour, en toute humilité (c’est tout lui, ça) , peut réduire les sensations de douleur, booster le système immunitaire, améliorer les fonctions cognitives, prévenir les maladies cardio-vasculaires, chasser le stress… Et j’en oublie sûrement, c’est certain .

    Donc, nous sommes d’accord, c’est bien ça que vous voulez ?

    Soupir …

    Et si je vous posais une de ces blagues comme le font d’autres en mal d’inspiration ?

    Nan ?

    Soupir …

    Un tantinet casse-pieds, cet exercice, pire que de la poésie !

    Ha non, en fait !

    Allez vous coltiner avec un alexandrin à servir en plat unique et vous comprendrez que forcément à chacun sa petite spécialité …

     

    Ca n’est pas tout ça mais on n’avance pas là .

    Le clavier s’agite certes, cependant juste parce que les doigts s’emmêlent …

    (gag visuel, non ? Toujours pas ?? )

    Ok, c’est à désespérer. J’en conviens.

     

    Vous pourriez m’aider aussi au lieu de lire yeux impavides du « où veut elle en venir » avec le petit pli qui fait que certains se jettent sur des crèmes très chères ou plus, si stress amplifié … !

    Nan ?

    C’est acté donc, rien de plus sûr : vous me laisserez me dépatouiller dans ce brouillamini informe et impropre au rituel de « la petite rigolote vous a préparé aujourd’hui » ; je m’y fais très bien moi, en fait, à ne pas être une petite rigolote, je suis déjà une ravissante idiote, on ne peut prétendre à tous les titres dans la vie !

     

    Bon …Un brin de papote alors …

     

    Puisque c’est la période des vacances même si c’est fini pour la plupart d’entre vous, il y a toujours un moment pour nous les filles un peu ennuyeux : le choix du maillot ! 

    Ah ! Vous aussi, les garçons ?

    Ne souriez pas (ou si après tout, j’essaye désespérément depuis le début) car ça n’est pas anodin : le maillot, c’est aussi l’épilation qui va avec !

    Là oui, les garçons font « non non »  : les poils qui dépassent, tout comme leur petit bedon bedonnant plus ou moins dangereusement, ils s’en fichent comme de leur premier carambar …

    Revenons à nous, les filles et à ce casse-tête du choix de ce bout de tissu mini.

    C’est certain, nous sommes absolument adorable dans le « petit deux pièces ficelle à nouer chic je vais stresser à chaque fois que je saute dans l’eau » , mais pour celles qui ont réussi à passer le cap de stress cité ci-dessus et celui du « c’est bon, pas d’effet rosette de Lyon » , il y a celui de la pilosité indisciplinée qu’il faut nettement faire disparaître et là, franchement pas gagné mais alors pas du tout …

    Je vous passe toutes les ruses de sioux sur le chemin de la guerre que chacune peut trouver car je ne tiens pas après tout, un blog spécial beauté.

    Cependant, je voudrai que vous ayez une petite pensée émue pour toutes ces filles que vous avez croisées ou que vous croiserez, en tout petit maillot et saluer une fois de plus, l’abnégation qui est la leur .

    Pour ma part, j’opte pour le une pièce même si j’échappe aux trois contraintes citées ; la mienne pour satisfaire votre curiosité, est un grain de beauté juste à côté du nombril que la gente masculine s’entête à trouver ravissant et surtout, à vouloir me le faire remarquer …

    Mais ceci est une autre histoire …

     

    Tant pis donc pour le moment joyeux ….

    Je reviendrai ;

    Je ré essayerai …